Semez le don à la communauté, récoltez de meilleurs fruits
Nous avons tous entendu dire que les entreprises doivent « redonner à la communauté ». Et c’est ce que font de plus en plus d’entreprises, petites et grandes.
Certaines croient qu’elles contribuent déjà en payant leurs taxes et impôts. Heureusement, la plupart ne partagent pas cet avis : pour la majorité, redonner à la communauté, c’est ajouter des nutriments au terreau communautaire.
Le temps et l’argent sont les graines que nous semons dans la communauté. Ils assurent la fertilité du sol où nous croîtrons, nous et nos entreprises, durant les années à venir.
Nous avons souvent l’impression qu’être chef d’entreprise, c’est travailler 24 heures par jour. La décision de donner de notre temps à des organismes communautaires fait preuve d’une véritable passion.
Un exemple d’une entreprise redonner à la communauté
Gary Blair est le propriétaire et chef de l’engagement d’i24 Solutions de gestion d’appels. Il en a déjà plein les bras avec la direction de cette entreprise familiale de 46 ans. Quarante-six ans au cours desquels i24 a touché les vies de centaines d’employés et de clients. Et d’où viennent ces employés et ces clients? De la communauté même où Gary gagne sa vie.
Gary a vite appris qu’une entreprise fonctionne en symbiose avec sa communauté. On ne fait pas seulement des affaires avec les gens qui nous entourent, on vit également parmi eux tous les jours.
Redonner à la communauté n’est pas une stratégie d’affaires visant à améliorer vos résultats. C’est un engagement personnel amplifié par les ressources de votre entreprise.
Que vous choisissiez de donner du temps ou de l’argent, votre contribution doit venir du cœur. Sans cela, le jupon dépassera, et vous feriez mieux de rester au bureau à compter votre argent.
Comment l’entreprise bénéficie-t-elle de redonner à la communauté?
- R-E-S-P-E-C-T
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- Lorsque vous appuyez des groupes communautaires qui améliorent la qualité de vie de vos voisins, cela vous apporte du respect et une bonne réputation. Vous accumulez ainsi un capital de sympathie qui pourra servir un jour.
- Communauté plus saine
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- « La marée montante soulève tous les bateaux. » – Vous améliorez la qualité de vie dans la communauté. Une communauté plus sûre, plus saine est une meilleure place d’affaires.
- Personnel plus heureux
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- Non seulement ça fait du bien de donner, mais ça fait aussi du bien de travailler pour une entreprise qui donne. Le travail communautaire, surtout lorsqu’il implique toute la compagnie, est bon pour le moral. Il aide l’équipe à comprendre que « nous sommes tous dans le même bateau ». Vous êtes moins susceptible de vous sentir exploité si vous travaillez pour une entreprise qui a une conscience.
- Avantage réseautage
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- Redonner à la communauté vous branche sur la communauté. Le réseautage et les présentations à des événements-bénéfice font que l’on vous remarque. Les gens que l’on a tendance à rencontrer à ces événements tendant à travailler pour des entreprises qui redonnent aussi. Des entreprises qui vous perçoivent comme un entrepreneur soucieux de sa communauté.
Partager montre que vous avez du cœur.
Nos passions et nos intérêts en disent davantage sur nous qu’une carte professionnelle ou une page perso dans un site Web.
Avant l’arrivée d’Internet, il était attendu qu’un propriétaire ou chef d’entreprise se joigne à une association locale de gens d’affaires.
Les associations servaient à donner des poignées de main, échanger des cartes et bavarder. C’est ainsi que les entreprises faisaient connaissance avec leurs voisins et concurrents.
On créait des liens basés sur les intérêts en commun.
Lorsque vous quittez le bureau et sortez dans la communauté, votre marque vous suit comme une ombre.
Vous la représentez chaque fois que vous faites un contact.
Il n’y a qu’un seul « vous » et, par extension, qu’une seule « votre entreprise ».
En fusionnant vos marques d’entreprise et personnelle, vous augmentez votre avantage concurrentiel.
Voici une brève liste des organismes que soutient notre entreprise (i24 Solutions de gestion d’appels) :
Art-thérapie – La Fondation de l’art pour la guérison
Gary Blair représente la troisième génération de propriétaires d’i24 Solutions de gestion d’appels. Il a vu le secteur des centres d’appels évoluer à la vitesse grand V. Une constante, à part le changement, est l’engagement de l’entreprise envers sa communauté.
Gary et son conjoint, Earl Pinchuk, se passionnent pour les arts et les droits de la personne. Ces deux passions convergent dans The Art For Healing Foundation / La Fondation de l’art pour la guérison.
La Fondation de l’art pour la guérison donne le sourire aux patients et aux soignants qui passent leur temps dans des centres de réadaptation, de cardiologie ou de santé mentale aux quatre coins du Canada.
Et maintenant, une première en 15 années d’existence, la Fondation s’est déployée au-delà de nos frontières. En mars dernier, Gary et Earl se sont rendus à Paris pour superviser l’installation d’une œuvre de Michel Goulet à l’hôpital universitaire Robert-Debré.
La semaine dernière, ils ont reçu le Prix Inspiration de la CCGQ lors du Gala Phénicia 2017.
Cet honneur leur a été rendu devant des leaders communautaires et politiques de toutes les allégeances, dont le maire de Montréal, Denis Coderre, l’ancienne première ministre du Québec, Pauline Marois, le chef du NPD fédéral, Thomas Mulcair, le secrétaire parlementaire du premier ministre Trudeau, Peter Schiefke – ainsi que votre humble serviteur.
Les animaux font partie de notre communauté – Le SPCA de Montréal
« On peut juger de la grandeur et du progrès moral d’une nation par la façon dont les animaux y sont traités. » – Mahatma Gandhi
Maître de deux adorables west highland white terriers, Gary a toujours eu à cœur la cause du bien-être des animaux. Il soutient depuis longtemps les efforts de la SPCA de Montréal. Il a siégé au conseil et été commanditaire d’événements-bénéfices tels que L’amour sous les étoiles.
« La mission de la SPCA rejoint la nôtre. Elle fait appel à nos (i24) valeurs fondamentales d’intégrité et d’engagement communautaire. » – Gary Blair
Aider les jeunes sans-abris – Dans La Rue
« Mon cœur est plein d’espoir pour ces jeunes. Je sais très bien qu’il y a des limites à ce que je peux faire et que je ne peux pas les sauver tous. Cependant, quand je pense à Lise, à Johnny, à Daniel, à Molly et aux autres…je me rends compte qu’après chaque nuit sombre et difficile -même les pires nuits- un jour nouveau se lève et le matin est plein d’espoir. » – Père Emmett Johns
Le père Emmet Johns (Pops) a fondé Le Bon Dieu dans la rue pour venir en aide aux jeunes sans-abris de Montréal.
Avec un prêt personnel de 10 000 $, il a acheté un motorisé usagé et s’est mis à arpenter les rues de la ville, travaillant de longues heures, souvent solitaires, de 21 h jusqu’à 3 ou 4 h du matin.
Il apportait de l’espoir, une denrée des plus rares pour ces jeunes gens qui se retrouvaient dans les rues de la ville.
De nos jours, ce véhicule reçoit plus de 17 000 visiteurs par année. L’organisme opère également un refuge de nuit appelé Le Bunker pour les 12 à 21 ans. Un centre de jour permet aussi aux jeunes d’avoir accès à des services de counseling et familiaux.
« Ce que nous avons fait pour nous-mêmes disparaît avec nous; ce que nous avons fait pour les autres et le monde restera et sera immortel. » ― Albert Pike